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Comment faire de bonnes affaires en ligne ?

A côté de notre monde réel se développe un univers virtuel à ne pas négliger. Nombre de transactions commerciales et financières s’y déroulent quotidiennement. Cela ouvre de larges perspectives, à condition de prendre les mesures nécessaires.

S’agit-il d’acheter une voiture pas cher ? Rien de plus simple en utilisant un comparateur de prix. En quelques clics, il est possible de savoir si un revendeur se situe près de chez soi. C’est un atout non négligeable, et d’autant plus intéressant que des outils permettent aussi de savoir comment minimiser ses dépenses (entretien, carburant, remboursement, etc.). En effet, chacun sait que la gestion d’un véhicule produit un impact plus ou moins important sur un budget, il est donc préférable de bien en connaître les tenants et aboutissants. A noter par ailleurs qu’un crédit automobile peut désormais être obtenu en ligne.

Car l’utilisation de l’outil Internet va plus loin en matière financière. Avec un compte en banque en ligne, les transactions deviennent plus fluides tout en étant personnalisées. Une des ressources dont chacun a vraiment besoin dans notre société moderne, c’est le temps. Les opérations financières réalisées via Internet sont quasiment effectuées en temps réel. Les outils financiers, comme les calculettes pour connaître son crédit bancaire, ou pour savoir à quel moment une échéance arrive, sont ce qu’il y a de plus simples et de plus rapides à utiliser de nos jours. Il reste enfin, à savoir comment bien placer son argent.

Placer son argent, ce n’est pas seulement souscrire un crédit, ou réaliser une épargne conséquente. Une activité qui demande bien de la rapidité, c’est le trading. En d’autres termes, le marché boursier. Cela requiert une certaine expérience, et le recours à un courtier devient alors indispensable. Les options binaires, notamment, offrent une faculté de décision intéressante pour savoir dans quel marché réaliser son investissement : or, pétrole, matières premières, marché des indices, etc. Il est à la portée de chacun d’apprendre ce genre d’opération financière sur Internet, afin de faire de bonnes affaires en ligne, gagner de l’argent en le plaçant de manière judicieuse.

Le ministre de la Consommation veut réformer les lois sur les assurances

Le conseil des ministres du 2 mai dernier a été l’occasion pour le ministre de la Consommation, Benoit Hamon, de présenter son projet de loi sur les assurances en France. Les détails :

Insuffisance de concurrence sur le marché des assurances

Le ministre de la Consommation Benoit Hamon souhaite modifier la procédure de résiliation des contrats d’assurance pour la rendre plus simple. La législation actuelle, la loi Châtel, veut que l’assuré prévienne son assureur par lettre recommandée, avec accusée de réception, dans un délai minimum de deux mois précédant la date d’anniversaire du contrat. En cas de non-respect de cet engagement, la compagnie est en droit de refuser la résiliation en vertu de la tacite reconduction. Autre problème également important, une résiliation anticipée est impossible sauf dans des circonstances très particulières.

Pour Benoit Hamon, ces mesures sont très contraignantes pour les consommateurs qui ne peuvent pas exercer librement leur choix. Elles empêchent les lois de la concurrence de bien fonctionner puisque les souscripteurs ne disposent pas de suffisamment de temps pour comparer les différentes offres, note-t-il. Cet état de fait explique en partie la flambée des prix constatée sur le marché aujourd’hui. Pourtant, devant la crise, le pouvoir d’achat des ménages français est au plus bas. Le risque de non-assurance est plus que jamais un problème d’actualité.

Vers des conditions plus souples

Dans un texte qu’il a présenté lors du conseil des ministres du 2 mai dernier, M. Benoit Hamon suggère un assouplissement de la législation. Il met en avant la possibilité de rompre le contrat en cours d’année après un an d’adhésion, sans qu’aucune pénalité ne soit infligée. À cet effet, l’assuré ne s’acquittera que du montant correspondant à la période de viabilité du contrat. L’assureur est ainsi tenu de rembourser le trop-perçu dans un délai de 30 jours. Au-delà, des intérêts pourront lui être demandés.

Le projet de loi de Mr Hamon, prévoit également quelques dispositions pour lutter contre la multi-assurance. Aujourd’hui les assurances affinitaires sont largement proposées lors de l’achat d’un produit ou d’un service comme l’assurance annulation voyage. Or, il n’est pas rare que le consommateur, mal informé, souscrive cette assurance sans savoir qu’il est déjà couvert par son assurance multirisque habitation. Les personnes concernées auront alors 14 jours pour résilier cette assurance nouvellement contractée.

Ce qu’il faut retenir de la franchise assurance auto

Les franchises constituent aujourd’hui l’une des meilleures options visant à optimiser l’assurance de son automobile. Qu’est-ce qu’une franchise assurance auto ? Une francise assurance auto peut se définir par une certaine somme d’argent qui reste à la charge de l’assuré et non remboursée par l’assureur en cas de dommage. Par ailleurs, il est utile de préciser que la franchise ne s’applique que lorsque la responsabilité de l’assuré est engagée suite à la survenance d’un sinistre. L’insertion de ces franchises dans le contrat d’assurance de votre automobile est particulièrement avantageuse dans la mesure où elle contribue à la baisse du montant des cotisations que vous devez verser à votre assureur.

 

Comment fonctionne la franchise assurance auto?

Plus les franchises sont importantes, plus le montant des cotisations baisse.  Avec des franchises élevées, il est fort probable que l’assureur accepte d’inclure certaines garanties supplémentaires à votre contrat, comme l’option « tous risques » pour un nouveau conducteur par exemple. Cela éviterait en cas d’accident grave d’être criblé de dettes et s’exposer à une situation de surendettement. Une franchise est une close non négligeable dans le choix d’un contrat d’assurance auto, il est plus que recommander de souscrire une franchise surtout si vous penser acheter renault occasion par exemple. La franchise est recommandée dans cette exemple car au voulant de votre voiture vous n’êtes pas à l’abri d’un quelconque accident, les conséquences sont nombreuses et peuvent être très très lourde ne serait ce que financièrement parlant, c’est dans ces moments là qu’une franchise vous sera d’une grande aide.

Les différents types de franchises

Aujourd’hui, les assureurs proposent un large choix de franchises aux assurés. Toutefois, le choix des différentes catégories de franchises peut varier en fonction des garanties que l’assuré souhaite inclure dans son contrat d’assurance auto. Parmi elles, l’on peut distinguer par exemple la franchise de l’apprenti conducteur lorsque le permis de conduire est encore récent et que le conducteur vient de causer un sinistre, la franchise de conduite excessive valable dans le cadre du non-respect des règles précisant la liste des personnes autorisées à conduire le véhicule ou la franchise dommage lorsque le véhicule est endommagé après un accident provoqué par son conducteur. On peut également citer la franchise en cas de vol, la franchise relative à la garantie tempête, incendie, terrorisme ou la franchise kilométrique en cas de panne pour la garantie assistance.

Comment calculer une franchise assurance auto ?

Une franchise assurance auto peut être calculée de diverses manières. Elle peut être établie sur une somme fixe au prorata du montant de l’indemnisation ou calculée sur la base d’une combinaison entre un montant fixe et un pourcentage. Pour le cas d’une franchise relative, l’assuré peut être indemnisé dès que le montant de la franchise est dépassé. Par ailleurs, la franchise absolue indemnise l’assuré lorsque le montant du dommage est supérieur à la valeur de la franchise. Pour profiter de la meilleure formule d’assurance pour son automobile lorsque vous envisagez pour acheter une renault occasion, il est conseillé d’inclure ces options dans le contrat y afférent, pour faire baisser le montant de ses cotisations.

Pas de construction sans terrain adapté

Construire une maison prend beaucoup de temps et débute par la recherche d’un terrain adéquat, correspondant aux envies et aux choix du couple qui désire se lancer dans cette aventure. Qu’il opte pour une habitation à la campagne ou dans un environnement plus citadin, le ménage doit veiller à se poser certaines questions avant d’acquérir son terrain.
Il s’agit en premier lieu d’évaluer sa situation et ses besoins personnels, qui peuvent fortement changer d’un ménage à l’autre, afin de déterminer l’environnement adapté: voiture à disposition ou non, proximité des écoles pour les enfants, proximité des grandes surfaces, des hôpitaux ou des pharmacies, proximité avec les voisins, attachement ou non aux coutumes ou à la langue de la région, etc.
Une fois le terrain trouvé grâce aux annonces, à un repérage sur place ou aux renseignements fournis par les agents immobiliers, il est indispensable de vérifier certains points : sa superficie afin de calculer la surface sur laquelle peut s’étendre la future maison, le bornage au cas où des voisins auraient agrandi leur propre terrain, sa situation ou encore son exposition au soleil. Il est également nécessaire de prendre connaissance des prescriptions urbanistiques en vigueur pour le terrain afin de ne commettre aucune infraction.
D’autres précautions sont aussi à prendre : vérifier la stabilité et l’état du sol afin de s’assurer qu’il n’existe pas de nappes d’eau souterraines qui engendreraient de gros travaux de renforcement ; prendre en compte les nombreux frais de raccordement aux réseaux publics d’eau, de gaz, d’électricité, etc. se trouvant autour du terrain ; et en cas de construction dans un lotissement, prendre connaissance des conditions présentes dans l’acte de lotissement.
Pour pouvoir enfin construire sur un terrain, il est nécessaire d’obtenir un permis de lotir, remplacé par le permis d’urbanisation en Région wallonne depuis le 1er septembre 2010, qui sera délivré par l’administration communale. Attention, ce permis est différent du permis d’urbanisme, requis pour la construction-même de l’habitation. N’hésitez pas à vous renseigner auprès de professionnels et recherchez pour vous la meilleure solution disponible sur le marché en matière de crédit hypothécaire.

Source: pret.be

Passer un ordre en Bourse : tout un art

Le choix des titres à acquérir est très important, mais la méthode à utiliser pour les acquérir l’est encore plus. En effet, l’investisseur peut opter pour plusieurs sortes d’offres et plusieurs marchés qui se rapportent plus ou moins à des titres qu’il a choisis.

L’ordre à cours limité

L’ordre à cours limité est l’un des plus prisés en France, car il permet aux vendeurs comme aux acquéreurs de se fixer une limite. De plus, il est très facile à maîtriser : un vendeur pourra baliser ses échanges, et fixer le prix plancher à ne pas outrepasser, tandis que l’acquéreur pourra lui aussi définir à l’avance le prix maximal qu’il pourra mettre.
Le cours touché doit tout de même retenir toute votre vigilance : les ordres sont reçus par ordre chronologique, selon l’heure d’entrée sur le marché lorsqu’un certain nombre d’ordres sont à un même niveau de cours.

L’ordre à la meilleure limite

Il faut bien nuancer cet ordre de l’ordre « au marché », bien qu’il ait été appelé autrefois ordre « au prix du marché ». Après l’ordre à cours limité, il est le plus employé en France, étant facile à employer et d’une nette praticité, surtout lorsque l’on traite des titres à fortes liquidités.
La quantité est ici prépondérante par rapport au cours. L’ordre à la meilleure limite consiste avant tout à situer la contrepartie lors d’une vente ou une acquisition. L’ordre sera exécuté entièrement sur un seul cours s’il le peut. Par contre, lorsque la contrepartie ne possède pas assez de titres par rapport à un unique niveau de cours, l’on appliquera l’ordre à cours limité au lieu de l’ordre à la meilleure limite. Ce procédé rend l’ordre à la meilleure limite fiable, car aucune garantie n’est donnée concernant le prix.

L’ordre au marché

L’ordre « au marché » est différent des autres ordres par sa priorité et son principe. Il est prioritaire, car aucune limite de prix n’y est évoquée. Le prix d’exécution n’intéresse alors en rien l’investisseur, qui projette d’acheter plusieurs titres.

L’ordre à seuil de déclenchement

Grâce à cet ordre à seuil de déclenchement, l’investisseur peut alors se couvrir d’une chute du marché, et de ne pas passer à côté d’une hausse de ce dernier que ce soit sur les plateformes physiques comme sur les sites de bourse en ligne.

Ordre à Plage de Déclenchement

L’ordre à plage de déclenchement est presque identique à l’ordre à seuil de déclenchement, sauf que pour ce type d’ordre, un deuxième prix à ne pas franchir devra être établi par l’investisseur.
Lorsqu’on parle d’acquisitions, le cours limite fixé ne doit pas être inférieur au deuxième cours, et dans le sens contraire lorsqu’on parle d’une vente.
À contrario, le second cours, quant à lui, devra être inférieur pour les ordres de vente et supérieur pour les ordres d’acquisition.

S’appuyer sur les conditions du marché pour les stratégies options binaire

Ce guide option binaire a pour objectif d’aider les opérateurs en bourse en ligne de tirer profit de leurs investissements. La meilleure façon de fructifier son argent au trading est d’élaborer des stratégies options binaire s’appuyant sur les conditions du marché.

Le trending market

Le comportement d’une plateforme de trading options binaires en ligne est changeant. Ainsi, les professionnels de la bourse sur Internet parlent de trending market lorsque la valeur de l’actif s’inscrit dans une tendance bien définie. Si le sens de variation des cours se maintient sur une période assez longue, on dit que la tendance est séculaire. Dans le cas contraire, on dit qu’il s’agit d’une tendance secondaire. Comme une action ou une valeur peut suivre une direction décroissante, les spécialistes du marché boursier sur Internet évoqueront la qualification de marché d’ours. Par contre, le nom de marché des taureaux a été choisi pour désigner un marché haussier. Pour pouvoir apprécier ces différentes conditions du marché, le trader doit être en mesure de procéder à une étude technique des données publiées sur le portail du broker.

Le marché vacillant

Il peut arriver qu’un instrument financier fluctue – alternant hausse et baisse – pendant un délai assez court. Le trader est amené à évoluer dans ce type de marché appelé bondissant lorsque dans un trading haussier par exemple, la tendance s’inverse brusquement alors que le nombre de demandes disponibles sur la plateforme ne suffit pas pour permettre aux prix de se redresser. On parle aussi de Range bound markets quand il y a sur le marché autant d’offres et que de demandes pour un actif déterminé. Les fluctuations de l’instrument financier seront alors le fait des informations échangées entre les opérateurs, mais ceci n’aura pas d’incidence sur la tendance réelle du marché. Ce n’est qu’après l’introduction de nouveaux graphiques et d’informations supplémentaires par les entreprises spécialistes de la saisie de données que les intervenants en bourse sur Internet pourront prendre des positions plus claires.

Profiter de la volatilité d’un actif

Tout peut arriver sur le trading, les cours d’un actif peuvent monter comme il peut afficher une tendance baissière ou encore fluctuer dans une fourchette de valeurs sans donner des indications précises au trader. Un instrument financier peut également se montrer très volatile. Les cours montrent dans ce cas une tendance, mais ceux-ci montent ou baissent très rapidement et de façon soutenue. Les opérateurs boursiers en options binaire apprécient beaucoup cette condition de marché parce que les prises de bénéfice sont fréquentes. Cet événement survient lorsque les acteurs peinent à se positionner sur un instrument financier alors que le délai de souscription est échu. Les professionnels de la bourse en ligne se servent d’indicateurs comme le VIX pour mesurer la volatilité d’un titre.

L’assurance emprunteur : les risques couverts

La loi peut exiger que la souscription d’un crédit doive être couverte par une assurance. L’objet de cette assurance consiste à rembourser l’établissement de crédit en cas de problèmes touchant l’emprunteur. C’est pour cette raison qu’on appelle souvent cette action assurance emprunteur. Une
assurance rachat de prêt permet de couvrir un rachat de prêt propriétaire au même titre que l’assurance d’un crédit initial. En général, le débiteur va contracter une police d’assurance couvrant les situations suivantes : invalidité totale ou partielle, incapacité et décès.

Les catégories d’invalidité

En matière d’assurance, l’invalidité est définie selon sa portée : elle peut être partielle ou totale, absolue et définitive.

Lorsque l’invalidité est consécutive à un accident ou à une maladie, l’assureur doit procéder au remboursement des échéances, en proportion au degré d’invalidité constaté. On parle d’invalidité permanente partielle pour une personne ne pouvant exercer à plein temps son activité professionnelle. Cette première catégorie d’invalidité touche l’assuré à plus de 33% et à moins de 66%. La seconde catégorie d’invalidité est établie pour une personne qui ne peut plus exercer aucune activité professionnelle, soit un taux d’invalidité au moins égal à 66%.

L’invalidité est déclarée absolue et définitive lorsque la personne concernée ne peut plus exercer d’activité professionnelle, et que de plus, elle doit être assistée par un tiers pour tous les actes de la vie courante : c’est l’incapacité de troisième catégorie. Dans ce cas, l’assureur de l’emprunteur procède au paiement du capital restant dû.

L’incapacité couverte par l’assurance emprunteur

Il s’agit d’incapacité temporaire de travail. L’assureur va procéder au paiement total ou partiel des échéances de l’emprunt lorsqu’il s’avère que le débiteur ne peut pas exercer son activité professionnelle pour causes médicales. Le paiement par l’assureur prend fin lorsque l’emprunteur reprend son travail.

Le décès et l’assurance emprunteur

L’assureur paie le capital restant dû dans le cas où l’emprunteur décède des suites d’un accident ou d’une maladie. Dans la pratique, les contrats prévoient souvent une limitation de l’âge auquel une assurance emprunteur peut intervenir.

A noter que l’assurance emprunteur peut être souscrite pour toute forme de crédit (consommation ou immobilier).

L’assurance perte d’emploi : pour ne jamais être sur la touche

L’assurance perte d’emploi est une garantie qui est destinée à régler vos traites de crédit, lorsque vous vous retrouvez au chômage. La souscription n’est pas obligatoire, d’ailleurs elle requiert des critères bien spécifiques. Les détails:
Les conditions de souscription
Tout d’abord, l’assureur prend en compte la profession exercée par l’individu qui souhaite souscrire cette assurance : professions libérales, artisans, travailleurs indépendants n’y ont pas accès. En effet, seuls les salariés ayant un contrat à durée indéterminée (CDI) avec une ancienneté d’au moins 6 mois peuvent souscrire à cette assurance perte d’emploi. Sont exclus également les employés se situant dans une période d’essai, les employés étant démissionnaires ou encore en préavis de licenciement.
L’âge est également un facteur important : la limite peut varier selon le courtier d’assurance crédit, mais elle se situe généralement entre 55 et 65 ans.
Une dernière condition consiste à vous exiger une pièce justificative de votre affiliation à l’ASSEDIC ou un autre système d’assurance chômage.

Les délais, d’une importance capitale

Dans le cadre d’une assurance perte d’emploi, les délais stipulés dans votre contrat sont à suivre de très près.
Le premier réflexe à avoir, c’est de se souvenir de la durée de votre contrat d’assurance perte d’emploi. Dans la majorité des cas, elle dure entre 1 en 4 ans. Passé ce délai, si vous n’avez entrepris aucune action, le contrat est automatiquement renouvelé. La date d’échéance du contrat a toute son importance pour une résiliation, car il vous faudra envoyer un courrier recommandé avec accusé de réception à l’assureur, au moins trente jours avant ladite date. D’autres évènements pourront venir résilier le contrat, comme le départ en retraite, l’atteinte de l’âge limite fixé par la police d’assurance, ou encore un remboursement anticipé.
Il faut aussi prendre en compte le délai de carence, entre la signature de votre contrat d’assurance et le premier paiement d’indemnité. Vous ne toucherez aucune indemnité, même en cas de chômage, durant cette période qui peut être relativement longue, à la discrétion des assureurs.
Une troisième période, dénommée franchise, est relative à la durée entre votre perception d’Assedic et votre première indemnisation de l’assurance chômage, qui dure entre 3 à 6 mois.

Combien ça coûte?

Comme lors de toute souscription à un contrat, la relation prix et indemnisation constitue un des critères fondamentaux à vérifier. En ces temps de crise, toute décision à prendre doit faire l’objet d’une étude approfondie, notamment dans le cadre des assurances. En cas de chômage, si l’assuré se retrouve avec une assurance trop onéreuse, il est fort possible que la Banque de France le gratifie un jour d’un dossier de surendettement. En effet, dans le cadre d’une assurance chômage, les indemnisations sont limitées dans le temps, et ne peuvent intervenir que pendant une période déterminée, qui varie selon l’assureur. De plus, certains établissements limitent le nombre de périodes de chômage pour lesquelles vous serez indemnisé. Si vous trouvez du travail et que vous le reperdez peu de temps après, c’est-à-dire en moins de 6 mois, il ne vous sera pas appliqué à nouveau la période de franchise. De plus, vos mensualités de crédit ne seront pas remboursées à 100 % par l’assurance perte d’emploi, ce qui allongera considérablement votre période de créance.
Concernant le prix de cette assurance, il représente 0,3 à 0,7 % de la somme que vous devez rembourser à la banque, ou encore est calculé à hauteur du montant des traites mensuelles de remboursement du crédit, soit 1 à 7 % de ces mensualités.

Renégociation ou changement assurance pret? Comment choisir ?

Qu’est-ce que l’assurance prêt ?

L’assurance d’un prêt est temporaire, elle dure le temps de remboursement de votre emprunt. Elle est destinée à vous couvrir ainsi que l’organisme prêteur en cas de décès et souvent d’invalidité ou d’incapacité ainsi que parfois dans le cas de la perte d’emploi. Elle permettra alors de couvrir une partie ou la totalité des remboursements dus.

Ce que dit la loi à ce propos

Avec la nouvelle loi promulguée par Christine Lagarde, rien ne vous oblige à souscrire à l’assurance qui vous est proposée par votre banque lors de la demande de prêt. Vous pouvez demander à des compagnies d’assurance des devis et vous faire votre propre opinion en comparant diverses propositions.

Vos démarches

Prenez contact avec des compagnies d’assurance pour cela, vous avez le choix : Soit faire du porte-à-porte dans des assurances ayant pignon sur rue, soit passer par des comparateurs sur Internet ou bien encore vous adresser à un courtier en assurances. Vous aurez ainsi accès à différents devis et vous pourrez faire un comparatif juste et objectif. Qu’il s’agisse d’un nouveau pret ou de renégocier son assurance emprunteur, il est recommandé de faire jouer la concurrence, le courtier étant un partenaire offrant un bon compromis indépendance / tarifs.

Les prix

Vous ferez des économies en passant par une assurance emprunt individuelle. Celle-ci devrait vous être proposée à un taux variant entre 0,10 et 0,20% du capital emprunté. Les banques sont souvent à un taux variant autour de 0,50%. Il est donc important de ne pas céder à la tentation de la facilité en choisissant systématiquement l’assurance offerte par la banque.

La banque essaye le plus souvent d’encourager vivement ses clients à souscrire à son assurance de pret immobilier en même temps qu’au prêt. Il ne faut pas se laisser faire et ne pas tenir compte de la pression, car la loi est désormais de votre côté. C’est donc à vous de prendre cette décision et de choisir la meilleure solution pour vous. Vous pourrez donc demander une offre de prêt sans assurance.

Petite précision :

Votre banque doit vous fournir une fiche explicative sur l’assurance emprunteur.

Comprendre le fonctionnement du FIPC ou fichier des incidents de remboursement des crédits aux particuliers

En France, les personnes déclarées surendettées sont inscrites automatiquement au FIPC (fichier des incidents de remboursement des crédits aux particuliers). À partir de ce moment, ils ne peuvent plus contracter de nouveaux crédits.

Généralités sur le surendettement

Le surendettement touche une grande partie de la population française, notamment les personnes vivant en dessous du seuil de la pauvreté qui représente près de 13,4 % des Français en 2010. Si l’endettement bancaire immobilier était la principale cause du surendettement au début des années 90, il est aujourd’hui à mettre sur le compte de la dégradation de la situation financière. Entre juillet 2005 et juin 2010, près de 974 000 dossiers de surendettement ont été déposés ; 149 300 d’entre eux ont été déclarés irrecevables. Par ailleurs, selon une enquête menée par la Banque de France en 2010, 54 % des surendettés gagnent un revenu inférieur au SMIC (Salaire minimum interprofessionnel de croissance), un taux largement supérieur au chiffre publié en 2001: 32 %. En France, les dossiers déposés doivent passer par les différentes étapes de la procédure de surendettement avant d’être validés.

Comment fonctionne le FICP?

Une personne physique est déclarée surendettée lorsqu’elle ne peut plus faire face à ses dettes non professionnelles. Le dépôt d’un dossier de surendettement entraîne automatiquement l’inscription du débiteur au FICP ou fichier des incidents de remboursement des crédits aux particuliers. La durée de son inscription au fichier variera en fonction de sa situation vis-à-vis du dossier; elle est limitée à 5 ans dans le cadre d’un retard dans le remboursement de crédits. En cas de rééchelonnement de dette, c’est-à-dire si la commission de surendettement ne recommande pas l’effacement, elle est équivalente à la durée du plan conventionnel de remboursement et peut atteindre 10 ans. En revanche, le débiteur restera fiché à la Banque de France pendant 8 ans incompressibles, sans possibilité de radiation anticipée s’il est déclaré en faillite. Bref, l’inscription à la FICP ne peut être levée que lorsque le débiteur a fini de payer toutes ses dettes.

Les conséquences de l’inscription au FICP
L’inscription auprès du FICP entraîne l’impossibilité de souscrire de nouveaux crédits auprès d’une banque. Toujours est-il qu’il existe une dérogation au principe : le rachat de crédits. Quelques fois appelé aussi consolidation de crédits, il consiste à regrouper tous les crédits en cours du débiteur en un seul appelé «crédit de substitution». Grâce à cette opération, le remboursement prendra beaucoup plus de temps, mais les mensualités seront moins élevées ; ce qui rend le risque de surendettement minime. Dans la plupart des cas, les banques acceptent de racheter les crédits à condition que l’emprunteur soit en mesure de garantir le prêt et que son taux d’endettement reste sous la barre de 38 % après la restructuration. Une personne déclarée surendettée, en revanche, peut faire une souscription mutuelle. Cependant, afin de trouver la meilleure offre, il faut réaliser un devis mutuelle.